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23 octobre 2012 2 23 /10 /octobre /2012 13:15

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La première question de la Fatwa numéro ( 11834 )

 

Q1: J'ai deux familles qui habitent à 15 Km l'une de l'autre. J'ai l'intention de donner une bête de sacrifice; devrais-je immoler une offrande pour chaque famille ou pourrais-je égorger une seule bête pour les deux? Sachant qu'auparavant, j'ai égorgé une offrande chez l'une des deux familles et amené l'autre pour assister à l'immolation.


2 - Peut-on casser les os des offrandes après leur immolation?

3- Peut-on casser les cornes des offrandes après l'immolation?

 

R: Il vous suffit d'immoler une seule offrande pour les deux familles tant que vous êtes leur responsable. Mais, il est meilleur d'égorger une bête pour chaque famille.

 

Il n'y a aucun mal si vous cassiez les os et les cornes des offrandes.

 

Qu'Allah vous accorde la réussite et prière et salut sur

notre Prophète Mohammad, ainsi que sur sa famille et ses compagnons.

 
Le Comité Permanent des Recherches Scientifiques et de la Délivrance des Fatwas (Al-Iftâ')
 
Membre Vice-président du Comité Président
`Abd-Allah ibn Ghoudayân `Abd-Ar-Razâq `Affifî `Abd-Al-`Azîz ibn `Abd-Allah ibn Bâz

 

Copié de Alifta.net

http://Lecouple.enislam.over-blog.com/ 

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Published by Le couple en islam - dans La polygamie
15 octobre 2012 1 15 /10 /octobre /2012 14:32

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Question :

 

Qu'Allah vous récompense de la meilleure façon qui soit

au même titre que l’ensemble des musulmans.

 

Il y des soeurs qui s'interrogent en disant: «Beaucoup de jeunes vertueux entendent parler de notre droiture dans la religion et souhaitent se marier avec nous. Néanmoins ils se rétractent dès qu’ils apprennent que nos pères et nos frères ne sont pas dans le droit chemin. Sommes-nous coupables d’une faute dans cette situation? C'est pourquoi nous espérons que vous lancerez un mot en direction des musulmans à ce sujet ?»

 

Réponse :

 

Effectivement le prétendant doit prêter attention à la femme qu'il souhaite demander en mariage et non pas à sa famille ou ses tuteurs. Vu que le Prophète صلى الله عليه وسلم dit dans le hadith: «On épouse en général une femme pour une de ses quatre raisons : pour sa richesse, pour son rang social, pour sa beauté et pour sa religion. Choisis donc la femme se conformant à la religion! » Ainsi, le Prophète صلى الله عليه وسلم n’a pas dit par exemple : « La femme est demandée en mariage pour la piété de ses parents ou de ses tuteurs. »

 

Par ailleurs, il est connu qu’Allah le Très Haut fait sortir le vivant du mort et fait sortir le mort du vivant. Dans cet ordre d’idées, il se peut que de gens pervers émergent des personnes intègres et honnêtes à la fois et ce, grâce à la religion d’Allah. Il se peut même qu’au sein de mécréants se manifestent des gens qui croient en Allah et en Son Messager en témoignent ces illustrent personnes qui ont embrassé l’Islam à l’époque du Prophète صلى الله عليه وسلم au moment où leurs pères étaient des polythéistes. Et pourtant cela ne les empêcha guère de se convertir à l’Is­lam. Leur islam s’est d’ailleurs bonifié de la meilleure manière qui soit en devenant plus tard très utiles aussi bien à l’Islam qu’aux musulmans.

 

Je conseille ceux d’entre mes frères qui sou­haitent se marier avec une femme vertueuse de ne tenir compte ni de ses parents ni de ses tuteurs car si ces derniers sont bons, ils seront les seuls à en profiter et s’ils sont mauvais, ils seront les seuls à en assumer les conséquences. L’important est que la femme en question soit vertueuse. Dans ce cas-là, il n’aura qu’à se présenter pour demander sa main tout en sollicitant l’aide d’Allah le Très Haut.

 

Néanmoins dans ce genre de situations, certains obstacles peuvent être rencontrés.

 

En effet, il se trouve des parents qui lorsqu’un homme vertueux se présente pour demander la main de la fille et que tous deux souhaitent se marier ils refusent de les marier car tout simplement ils veulent la marier à un homme qui leur ressemble du point de vue de leurs mœurs corrompues.

 

Devant ce type de situation je tiens à faire savoir à ces parents en leur disant: «Faire une chose  pareille est interdit, relève du péché et vous place au rang des transgresseurs. Car le Prophète صلى اللهعليه وسلم dit dans le hadith: «Lorsqu'un homme dont vous êtes satisfaits de sa moralité et de sa pratique religieuse demande la main de votre fille, mariez-le. ».

 

Et puis sachez qu’il est du droit de la femme de se marier et que ses parents n’ont pas à s’opposer à son choix . Après tout c'est elle qui va vivre avec cet époux et non pas vous. Donc faites attention à ce que vous faites et craignez Allah le Très Haut de les priver de se marier avec quelqu’un d’intègre sur les plans religieux et moral.

 

Maintenant s’il arrive que le tuteur le plus proche s’oppose à son mariage, il appartient au tuteur suivant d’intervenir et d’accorder sa main. Si tous les deux refusent d’accorder sa main pour les mêmes raisons, sachant que la coutume ne veut pas par exemple qu’un frère intervient pour accorder la main de sa sœur en présence du père ou qu’un oncle intervient pour accorder la main de sa nièce en présence du père, dans ce cas-là il sera fait appel au juge religieux pour le faire. Seulement ce dernier avant d’intervenir est tenu de consulter pour une dernière fois les parents de la femme dans le but de les inviter un par un à accorder la main de celle-ci.  Quand il n’y aura personne à se présenter, dès lors il est du devoir du juge religieux de se charger d’une telle mission.

 

Il ne faut surtout pas laisser ces femmes en tant que bonnes croyan­tes sans qu’elles ne puissent se marier en raison de leurs parents qui veulent se les accaparer. J'implore Allah le Très Haut d’assister toute personne qui aspire au bien et à la réforme d’y parvenir et de nous préserver du mal des plus mauvais d’entre nous.


Cheikh Mouhammad Ibn Salih Ibn ’Outheymine 


Mariage Islamique en questions réponses par les plus grands savants

Copié de 3ilm.char3i.over-blog.com

 

http://Lecouple.enislam.over-blog.com/

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Published by Le couple en islam - dans Les fiançailles
10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 17:47

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Question :

 

Je suis une jeune fille de 16 ans et un jeune homme consciencieux dans sa religion qui exerce comme Muezzin dans une certaine mosquée m'a demandé en mariage.


Cependant je ne veux pas me marier avec lui. Il ne me plait pas .

Au contraire, j'éprouvais déjà de la répugnance à son égard bien avantqu'il ne demande ma main.  

 

Suis-je fautive en refusant sa demande alors qu'on peut l'inclure dans la catégorie de ceux dont on agrée la religiosité ? Que dit la religion à ce sujet quAllah vous récompense par un bien.

 

 

Réponse de cheikh al fawzan hafidahu Allah :

 

Si tu ne souhaites pas te marier avec un homme, tu ne commets aucun péché. Même si

cet homme est pieux. Le mariage est basé sur le choix d'un époux vertueux

et auprès duquel on trouve le repos pour son âme.


Maintenant si ta répugnance envers lui est due à sa pratique religieuse dans ce cas là on peut avancer que tu es fautive à plus d'un titre c'est à dire pour avoir éprouvé de la haine envers un croyant et envers quelqu'un attaché à sa religion.

Or, il est obligatoire d'aimer un croyant pour Allah.


Néanmoins même si tu te dois de l'aimer du point de vue religieux cela ne saurait t'obliger à l'épouser si tu ne ressens rien pour lui sur le plan affectif.

 

Et Allah est le plus Savant.

 

Cheikh Salih Bin Fawzan Bin 'Abdillah Al Fawzan

 

Tiré du livre le guide du mariage edition dar al muslim page 24/25

copié de france-salafi.fr

 

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Published by Le couple en islam - dans Les critères à suivre
10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 17:31

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إن أهلي قد تبنوا بنت خالتي لتكون بنتاً لنا؛ لأن الله لم يرزق والديَّ بأطفال كثيرين

وجهوهم، جزاكم الله خيراً

 

التبني لا يجوز في الإسلام كل أنسان يدعى لأبيه ذكراً كان أو أنثى قال الله -تعالى-: ادْعُوهُمْ لِآبَائِهِمْ هُوَ أَقْسَطُ عِندَ اللَّهِ فَإِن لَّمْ تَعْلَمُوا آبَاءهُمْ فَإِخْوَانُكُمْ فِي الدِّينِ وَمَوَالِيكُمْ[الأحزاب:، وكان التبني في الجاهلية معروفاً، كان زيد بن حارثة يدعى زيد بن محمد -رضي الله عنه- فلما أنزل الله الآية نسب إلى أبيه زيد بن حارثة، واستقرت الشريعة بأنه يجب أن ينسب الناس إلى آبائهم، وأنه لا يجوز التبني لأي إنسان، أما التربية فلا بأس إذا ربوا ولد غيرهم وأحسنوا إليه على أنه ينسب لأبيه لا إليه فلا بأس بذلك،

أما أن يقال: ولد فلان، وليس ولد فلان فلا يجوز مطلقاً

 clipart_fleches_0198.pngLien vers l'original 

 

Question : Mes parents ont adopter la fille de ma tante

car Allah ne leur a pas accordé une descendance nombreuse.

Renseignez les qu'Allah vous en récompense .

 

Réponse : L'adoption en Islam est interdite.

 

Toute personne, masculine ou féminine, doit se réclamer de son père

 

 ادْعُوهُمْ لِآبَائِهِمْ هُوَ أَقْسَطُ عِندَ اللَّهِ فَإِن لَّمْ تَعْلَمُوا آبَاءهُمْ

فَإِخْوَانُكُمْ فِي الدِّينِ وَمَوَالِيكُمْ

 

"Appelez-les du nom de leurs pères: c’est plus équitable devant Allah.

Mais si vous ne connaissez pas leurs pères,

alors considérez-les comme vos frères en religion ou vos alliés." (al ahzab 5)

 

L'adoption, pendant la période pré-islamique, était répandue.  Zayd Ibn Hârithah se faisait appeler Zayd Ibn Mohamad, qu'Allah l'agrée, et lorsque ce verset est descendu, il s'est affilié à son père, Zayd Ibn Hârithah. Et la législation islamique a confirmé qu'il était obligatoire de s'affilier à son père et qu'il était interdit de s'affilier à qui que ce soit.

 

Quant à l'éducation, il n'y a pas de mal à ce qu'ils éduquent un enfant qui n'est pas le leur tant qu'il n'affilie pas cet enfant à eux-même mais à son [vrai] père.

 

Mais de là à dire fils d'untel alors que ce n'est pas le cas, ceci est strictement interdit. 

 

Question posée à cheikh an-Najmi :

 

« Qu'Allah vous accorde le bien. Ce questionneur de france aussi demande : Nous est-il permis d'aopter un enfant par le biais d'association comme le secours islamique en France ? » 

 

Réponse :

 

« Il n'y a pas de mal (à cela) si tu n'as pas d'enfants et que tu veux adopter cet enfant pour le prendre comme enfant. Mais, il ne te sera pas affilié. Il n'est pas permis qu'il te sois affilié ou à ta femme. On ne dit pas de lui « Fils d'untel ».  Egalement, s'il grandit, il ne sera pas un mahram pour ta femme, sauf si elle l'allaite lorsqu'il est petit. » 

 

copié de fourqane.fr

 

لا يعتبر من المحارم إلا إذا أرضعته المرأة فتصير أمه بالرضاعة .

ثم إن التبني ممنوع في الإسلام ؛ ولكن تربيه على أنه أخوهم في الإسلام ؛ فإذا أرضعته هي أو أرضعته أخت المرأة مثلاً ؛ فتصير هي خالته ؛ وعندئذ يصبح محرماً لها

 

Cheikh 'Ali Redha répond :

 

Il ne fait pas partie des Mahrams sauf si la femme l'a allaité,

  [dans ce cas] elle devient sa mère par l'allaitement.

 

Puis l'adoption est interdite en islam, cependant elle l'éleve en etant son frère dans l'islam , et si elle l'a allaité ou la soeur de la femme l'a allaité par exemple,

elle devient sa tante et dans ce cas elle devient un mahram.

 

copié de alminhadj.fr

Tirée de 3ilm.char3i.over-blog.com


Cheikh 'Abdel-'Azîz Ibn 'Abdi-llâh Ibn Bâz

Cheikh Al-'Allaamah Ahmad Ibn Yahya An-Najmi

Cheikh 'Ali Redâ

 

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Published by Le couple en islam - dans Stérilité - grossesse & enfant
10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 17:09

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La question :

 

Un homme et sa femme ont adopté une fille parmi les enfants que l’État prend en charge, en l’inscrivant dans le statut personnel comme étant leur fille. Cette fille est actuellement adulte. Un homme connaissant sa situation a demandé sa main.

 

Prière de clarifier ce qui suit en détail si possible, et qu’Allah vous bénisse.

Est-il permis d’épouser cette fille attribuée à ce couple par adoption ?

La fille et le couple doivent-ils renier cette adoption ?

 

Est-ce qu’il suffit de renier cette adoption dans leur fond et de l’annoncer aux gens, ou il faut tâcher de l’annuler auprès des autorités administratives ?

 

Qu'en est-il du cas où la fille accepte d’annuler cette adoption auprès des autorités et que le couple refuse, que ce soit sous prétexte qu’ils l’aiment et la considèrent comme étant leur fille, quoiqu’ils n’admettent pas le terme « adoption », et qu’ils étaient contraints à l’inscrire dans leur livret de famille à cause des lois appliquées dans ce sens, ou sous prétexte des obstacles judiciaires à rencontrer dans les tribunaux ?

 

Nous implorons Allah de vous récompenser abondamment ?

 

La réponse :

 

 

Louange à Allah, Maître des Mondes; et paix et salut sur celui qu'Allah عزّ وجلّ a envoyé en miséricorde pour le monde entier, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu'au Jour de la Résurrection. Ceci dit :

 

Il n’est pas valide qu’une personne attribue son lignage à une autre par adoption.

 

L’adoption était appliquée pendant l’ère préislamique et au début de l’Islam.

 

On considérait l’enfant adoptif comme étant un véritable fils, et on tenait compte des autres effets de l’adoption.

 

Néanmoins, l’Islam a abrogé l’adoption et a annulé tous ses effets.

 

Ceci est cité dans le verset où Allah تعالى dit :

 

مَا جَعَلَ اللهُ لِرَجُلٍ مِنْ قَلْبَيْنِ فِي جَوْفِهِ وَمَا جَعَلَ أَزْوَاجَكُمُ اللاَّئِي تُظَاهِرُونَ مِنْهُنَّ أُمَّهَاتِكُمْ وَمَا جَعَلَ أَدْعِيَاءَكُمْ أَبْنَاءَكُمْ ذَلِكُمْ قَوْلُكُمْ بِأَفْوَاهِكُمْ وَاللهُ يَقُولُ الْحَقَّ وَهُوَ يَهْدِي السَّبِيلَ﴾ [الأحزاب: 4].

 

Le sens du verset :

 

﴾Allah n’a pas placé à l’homme deux cœurs dans sa poitrine. Il n’a point assimilé à vos mères vos épouses [à qui vous dites en les répudiant]: «Tu es [aussi illicite] pour moi que le dos de ma mère [1]». Il n’a point fait de vos enfants adoptifs vos propres enfants. Ce sont des propos [qui sortent] de votre bouche. Mais Allah dit la vérité et c’est Lui qui met [l’homme] dans la bonne direction.﴿ [Al-Ahzâb (Les Coalisés) : 4].

 

En effet, les paroles ne changent nullement les faits et les vérités : elles ne font pas de l’enfant adoptif un véritable enfant, de l’étranger un proche ou un natif.

 

Donc, on doit attribuer l’enfant adoptif à son véritable père si on le connaît.

 

S’il n’est pas possible de connaître son père, on le considère comme étant un frère en religion et un allié, car il y a certes dans la fraternité confessionnelle et l’allégeance ce qui remplace la parenté :

 

Allah تعالى dit :

 

ادْعُوهُمْ لِآبَائِهِمْ هُوَ أَقْسَطُ عِنْدَ اللهِ فَإِنْ لَمْ تَعْلَمُوا آبَاءَهُمْ فَإِخْوَانُكُمْ فِي الدِّينِ وَمَوَالِيكُمْ وَلَيْسَ عَلَيْكُمْ جُنَاحٌ فِيمَا أَخْطَأْتُمْ بِهِ وَلَكِنْ مَا تَعَمَّدَتْ قُلُوبُكُمْ وَكَانَ اللهُ غَفُورًا رَحِيمًا﴾ [الأحزاب: 5].

 

Le sens du verset :

 

﴾Appelez-les du nom de leurs pères: c’est plus équitable devant Allah. Mais si vous ne connaissez pas leurs pères, alors considérez-les comme vos frères en religion ou vos alliés. Nul blâme sur vous pour ce que vous faites par erreur, mais (vous serez blâmés pour) ce que vos cœurs font délibérément. Allah, cependant, est Pardonneur et Miséricordieux [2].﴿ [Al-Ahzâb (Les Coalisés) : 5].

 

Cela dit, malgré que l’Islam interdit l’adoption et l’annule, il n’empêche pas tout de même les gens pouvant prendre en charge, éduquer et faire du bien aux orphelins, aux enfants trouvés ou dont les parents sont inconnus de le faire.

 

Plutôt, il recommande de les prendre en charge de manière à améliorer leur situation : en entretenant leur physique et en les instruisant religieusement et moralement jusqu’à ce qu’ils deviennent adultes et majeurs.

 

Et toute personne faisant cela sera récompensée.

 

Cependant, il n’est pas permis à une personne qui prend un enfant en charge de lui accorder son nom de famille, quelle que soit l’excuse avancée, et même s’il joint à l’excuse [le besoin de l’enfant] à la miséricorde, à la tendresse et à l’éducation ; ou pour satisfaire l’instinct paternel et maternel dans le cas où le père ou la mère serait stérile.

 

Donc, toutes ces raisons ou autre ne peuvent faire de l’enfant adoptif un vrai enfant.

 

De plus, l’adoption n’implique pas les jugements relatifs à la véritable filiation, et ce, à cause des mauvais effets qui en résultent, en l’occurrence le mensonge, la fausseté, le mélange et la confusion en lignages et l’altération de la division en héritage de manière à priver le méritant et à favoriser ce qui ne mérite pas.

 

Parmi aussi les effets néfastes qui en résultent le fait de rendre licite ce qui est illicite, par exemple se retrouver [dans ce cas] seule à seul(s) [avec le(s) garçon(s) du parent adoptif] et se dévoiler devant eux, et l’interdiction du licite tel que [l’interdiction] du mariage du fils biologique de la fille adoptive ou vice versa, ainsi que le dépassement des autres restrictions établies par la charia ou des choses qu’Allah سبحانه وتعالى interdit.

 

Par ailleurs, et dans le contexte de la considération de l’enfant étranger adoptif comme un enfant biologique et son attribution à une autre personne que son père ou ses maîtres, nous évoquons les paroles du Messager صلى الله عليه وسلم mettant en garde contre ce péché majeur, reniant le mensonge et la fausseté et interdisant la transgression des restrictions assignées par Allah.

 

Le Messager صلى الله عليه وسلم dit :

 

« Celui qui s’attribue un lignage autre que celui de son père, en le sachant, le paradis lui sera interdit. » [3]

 

Le Messager صلى الله عليه وسلم dit aussi :

 

« Quiconque s’attribuant un lignage autre que celui de son père mécroit. » [4]

 

Dans un autre hadith :

 

« Celui qui s’attribue un lignage autre que celui de son père ou se donne une appartenance autre que celle de ses maîtres, encourra la malédiction d’Allah de manière continue jusqu’au jour de la résurrection. » [5] 

 

Et il dit :

 

« Celui qui s’attribue un lignage autre que celui de son père ou se donne une appartenance autre que celle de ses maîtres, encourra la malédiction d’Allah, de Ses anges et de tous les gens. Allah n’acceptera de sa part ni repentance ni rançon. » [6] [7]

 

Cela dit, on doit changer le nom que la fille porte par adoption. On doit lui attribuer son original et véritable nom.

 

Cela se fait en recourant aux registres officiels de garde et d’orphelinats.

 

Ainsi, si elle est une orpheline, ayant perdu son père, on l’attribue à son père.

 

Si elle est issue d’une fornication, on l’attribuera à sa mère, qui l’aura accouché.

 

En outre, le parent adoptif doit s’efforcer de corriger son erreur autant que possible.

 

S’il n’est pas possible de ce faire, à cause des empêchements judiciaires ou des raisons administratives, il doit choisir un nom qui lui convient, tel que : Amatoullah (la servante d’Allah) ou Amatourrahmâne (la servante du Miséricordieux) ou autre.

 

Quant à la fille, elle doit renier son appartenance au parent adoptif, tout en reconnaissant le bien et les faveurs qu’il lui avait faits.

 

De son coté également, le parent adoptif doit renier l’attribution de cette fille à lui, et doit se repentir de son acte s’il savait le jugement porté sur l’adoption et commettait quand même cet interdit.

 

En effet, Allah accepte la repentance de ses serviteurs.

 

Il dit :

 

قُلْ يَا عِبَادِيَ الَّذِينَ أَسْرَفُوا عَلَى أَنْفُسِهِمْ لاَ تَقْنَطُوا مِنْ رَحْمَةِ اللهِ إِنَّ اللهَ يَغْفِرُ الذُّنُوبَ جَمِيعًا إِنَّهُ هُوَ الْغَفُورُ الرَّحِيمُ﴾ [الزمر: 53].

 

Le sens du verset :

 

﴾Dis: «Ô Mes serviteurs qui avez commis des excès à votre propre détriment, ne désespérez pas de la miséricorde d’Allah. Car Allah pardonne tous les péchés. Oui, c’est Lui le Pardonneur, le Très Miséricordieux.﴿ [Az-Zoumar (Les Groupes) : 53].

 

Du reste, il est permis de l’épouser.

 

Le gouvernant sera son tuteur, ou quelqu’un qui serait à sa place (le juge).

 

S’il n’est pas possible, on recourt à un imam officiel ; sinon le parent adoptif peut la marier (au prétendant), tout en observant les autres conditions de l’acte de mariage.

 

Le savoir parfait appartient à Allah عزّ وجلّ, et notre dernière invocation est qu'Allah, Seigneur des Mondes, soit loué et que paix et salut soient sur notre Prophète Mohammed, ainsi que sur sa Famille, ses Compagnons et ses Frères jusqu'au Jour de la Résurrection.

 

Alger, le 28 Djoumâda Al-Oûla 1429 H, Correspondant au 3 juin 2008 G

 

Cheikh Abou Abdil-Mou'az Mouhammad 'Ali Farkouss

 

[1] «Le dos de ma mère»: l’une des formules de divorce chez le Bédouin arabe.

 

[2] Appelez-les : les enfants adoptifs. Ce verset fut révélé à propos de Zayd Ibn Hâritha qui vivait sous le toit du Prophète comme son propre enfant et qu’on appelait Zayd Ibn Mouhammad. Ce verset et ce qui le précède rendent inopérante l’adoption et le Prophète fut le premier à l’appliquer à l’égard de Zayd.

 

[3] Rapporté par Al-Boukhâri dans As-Sahîh, chapitre des « Conquêtes », concernant la bataille d’At-Tâ'if (hadith 3982), par Mouslim dans As-Sahîh, chapitre de « La foi », concernant celui qui renie sont père alors qu’il se rend compte de son reniement (hadith 220) et par Abou Dâwoûd, par l’intermédiaire de Sa`d Ibn Abi Waqqâs et Abou Bakra رضي الله عنهما.

 

[4] Rapporté par Al-Boukhâri dans As-Sahîh, chapitre des « Vertus », concernant l’attribution des gens du Yémen au lignage d’Ismâ`îl (hadith 3317) et par Mouslim dans As-Sahîh, chapitre de « La foi », concernant le statut de la foi de celui qui dit à son confrère : Ô mécréant ! (hadith 217), par l’intermédiaire d’Abou Dhar رضي الله عنه.

 

[5] Rapporté par Abou Dâwoûd dans As-Sounane, chapitre de « La bienséance », concernant celui qui se donne une appartenance autre que celle de ses maîtres (hadith 5115) par l’intermédiaire d’Anas رضي الله عنه. Ce hadith est jugé authentique par Al-Albâni dans Sahîh Al-Djâmi` (hadith 5987).

 

[6] Rapporté par Mouslim dans As-Sahîh, chapitre du « Hadj », concernant le mérite de Médine et le fait que le Messager a invoqué Allah pour la bénir (hadith 3327), par At-Tirmidhi dans As-Sounane, chapitre de « L’allégeance et de la donation », concernant ce qui a été rapporté à propos de celui se donne une appartenance autre que celle de ses maîtres (hadith 2127) et par Ahmad (hadith 616), par l’intermédiaire de `Ali Ibn Abi Tâlib رضي الله عنه.

 

[7] Voir An-Nihâya d’Ibn Al-Athîr (3/24).

 

copié de ferkous.com

Tirée de 3ilm.char3i.over-blog.com

 

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Published by Le couple en islam - dans Stérilité - grossesse & enfant
10 octobre 2012 3 10 /10 /octobre /2012 15:23

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.

L'adoption ne peut exister en Islam car elle viole plusieurs principes

qui sont les bases de l'étique de la société musulmane.

 

Parmi elles, le fait que les enfants ne peuvent s'attribuer un père autre que le leur.

 

L'histoire de Zayd bnou Harrithah en est une parfaite illustration.

 

Zayd bnou Harrithah fut attaqué avec sa mère et vendu comme esclave.

 

Il fut alors acheté et offert à Khadidja, il devint alors son hadim (servant).

 

A son mariage avec le Messager d'Allah (sallallahou 'alayhi wa sallam), elle le lui offrit.

 

Il devient alors le hadim du Messager d'Allah (sallallahou 'alayhi wa sallam).

 

Puis, un jour, la famille de Zayd, à savoir son père et son oncle, surent l'endroit où il se trouvait et virent le chercher à la Mecque en espérant le récupérer contre une rançon.

 

Arrivés à la Mecque, ils demandèrent le Prophète (sallallahou 'alayhi wa sallam).

 

On les orienta vers la mosquée où ils l'abordèrent disant :

 

" Ô fils de 'Abdal Mouttalib, fils du Seigneur de son peuple, vous êtes les dépositaires du sanctuaire d'Allah, vous libérez le prisonnier et vous nourrissez le nécessiteux.

Nous sommes venus te voir au sujet de notre fils, ton esclave.

Accorde-nous cette faveur et sois bienfaisant en acceptant la rançon que nous sommes disposés à te payer."

Il leur demanda : "De qui voulez vous parler?"

Ils répondirent : "Zayd Ibn Hârithah."

Il leur dit : "Tout ce que vous voudrez. Appelez-le et donnez lui le choix. S'il vous choisit, il est à vous sans rançon. Mais s'il me choisit, par Allah, je ne suis pas du genre à préférer une rançon contre celui qui me préfère."

Ils dirent : "Tu as été généreux avec nous."

Le Prophète (sallallahou 'alayhi wa sallam) appela Zayd et lui demanda : "Connais-tu ces gens ?"

Il acquiesça : "Voici mon père et voici mon oncle."

Le Prophète (sallallahou 'alayhi wa sallam) lui dit : "Tu me connais également et tu connais ma compagnie. Tu as le choix entre nous."

Zayd répondit : "Personne ne m'est plus agréable pour moi. Tu es pour moi un père et un oncle."

Ceux-ci s'exclamèrent : "Malheureux, préfères-tu la servitude à la liberté et à ton père, ton oncle et les tiens ?"

Il répondit : "Oui, personne ne m'est préférable après ce que j'ai vécu avec cet homme."

Quand le Prophète entendit ces paroles, il emmena Zayd dans al-Hijr (un emplacement où les Mecquois se réunissaient pour leurs affaires) et clama : "Soyez témoin que Zayd est mon fils, il hérite de moi et j'hérite de lui."

Satisfaits du sort de leur enfant, les proches de Zayd prirent congé.

Depuis ce jour, Zayd fut appelé Zayd bnou Mouhammad jusqu'à la venue de l'Islam.

'Abdoullâh bnou 'Oumar dit à ce sujet : "Nous l'appelions Zayd bnou Mouhammad jusqu'à la révélation du verset : "attribuez-les à leurs pères""

(hadith rapporté par al Boukhari).

 

De même, à l'époque antéislamique, se marier avec la femme de son fils adoptif était considéré comme une relation incestueuse. Jusqu'au verset suivant (traduction rapprochée) :

 

" Quand tu disais à celui qu'Allah avait comblé de bienfaits, tout comme toi-même l'avais comblé: ‹Garde pour toi ton épouse et crains Allah›, et tu cachais en ton âme ce qu'Allah allait rendre public. Tu craignais les gens, et c'est Allah qui est plus digne de ta crainte. Puis quand Zayd eût cessé toute relation avec elle, Nous te la fîmes épouser, afin qu'il n'y ait aucun empêchement pour les croyants d'épouser les femmes de leurs fils adoptifs, quand ceux-ci cessent toute relation avec elles. Le commandement d'Allah doit être exécuté. " (Sourate 33, verset 37)

 

Pourtant, l'adoption comme la vivent les non musulmans, considèrent ces relations incestueuses puisqu'elle considère l'enfant adoptif comme l'enfant biologique (enfant de sang).

 

copié de assounnah.com

Tirée de 3ilm.char3i.over-blog.com

 

http://Lecouple.enislam.over-blog.com/

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 17:14

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Le premier devoir du mari : se comporter convenablement avec son épouse .

 

Allah a dit : Traduction relative et approchée :

 « Et comportez-vous convenablement envers elles » S4 V19 


 Cheikh al ‘Otheïmine commente ce verset : 


« Ce verset incite à la douceur envers les femmes et à la crainte d’Allah à travers elles. »
[1] 

 

Ibn Kathir a dit à propos de ce verset : « Il s’agit d’avoir les meilleures paroles envers elles et d’améliorer les gestes et les comportements vis à vis d’elles du mieux que possible.


En fait « le comportement », c’est l’accompagnement et les relations avec les femmes.
Et « le convenable », c’est tout ce que la législation musulmane a approuvé comme étant bon. En résumé, ce que la législation a approuvé est une bonne chose et ce qu’elle a désapprouvé est une mauvaise chose. 

 

De la même façon que toi, [mon frère], tu aimes que ta femme se comporte convenablement envers toi, alors comporte-toi convenablement envers elle !

 

Allah a dit : Traduction relative et approchée :

« Quant à elles, elles ont des droits équivalents à leurs obligations, conformément au bien »S2 V228


Ou encore, d’après un Hadith de ‘Aïcha -qu’Allah l’agrée- ,

Le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a dit :

« Le meilleur d’entre vous est celui qui est le meilleur avec sa femme
et je suis le meilleur avec mes femmes » 
[2]


 Le fait que le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- était de bonne compagnie, faisait partie de son caractère. Il était toujours de bonne humeur, il était doux et câlin envers ses femmes. Il était généreux lorsqu’il donnait. Il faisait rire ses femmes, il est même allé jusque faire la course avec ‘Aïcha de sorte d’être plus proche d’elle.  


 
Elle a dit : « Le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a fait la course avec moi et je l’ai gagnée et ceci avant que je prenne du poids. Et puis, on a refait la course après que j’eus pris du poids et il a remporté la course. Et il m’a dit : « On est quitte [3]». » [4]


[1] Explication de Ryadh as-Salihines, Chapitre :

« La recommandation en faveur des femmes » de Cheikh al ‘Otheïmine
[2]
Hadith authentique rapporté par at-Tirmidhi.
[3]
Hadith authentique rapporté par Ahmad, abou Dawoud et ibn Majah.

[4] Voir Tafsir ibn Kathir, Tome 1, Page 467.

 

Copié de http://www.al.baida.online.fr/femme_devoirepoux.htm

 

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 16:55

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 Les savants disent : « Si l’homme veut jouir pleinement des efforts de son épouse à la maison, il faut qu’il laisse passer les choses insignifiantes et qu’il contienne sa colère, dans ce qui contredit sa passion. Ceci exclut tout ce qui est du domaine de la jalousie pour les limites d’Allah ou les avertissements contre les injustices » [1]


 Dans les deux Sahih et autres, d’après abou Houreïra -qu’Allah l’agrée- , le ProphèteŽ-Prières et bénédiction d'Allah sur lui- a dit : « La femme a été créée d’une côte, si tu la redresses, tu la brises et si tu en tires quelque jouissance, tu en jouis alors qu’elle est tordue. Alors soyez bon envers les femmes »[2].


 Cheikh al ‘Otheïmine –Qu’Allah lui fasse miséricorde- commente ce Hadith :   


« A travers ce Hadith, il y a une preuve que la femme ne répondra pas d’une façon parfaite à tout ce que son époux lui demandera. Mais plutôt les défaillances seront inévitables.

 
 
Pourquoi ?Tout simplement, parce qu’elles sont diminuées dans la raison, dans la religion, dans la réflexion et dans toutes ses relations et qu’elles ont besoin d’être réconfortées et qu’on leur parle. Même si la femme veille à la droiture dans sa religion, elle ne pourra pas être aussi droite au niveau de son tempérament.


 Le Livre (le Coran) et la Sounnah prouvent qu’il faut être doux envers la femme, qu’il faut en prendre soin et qu’il faut se comporter avec elle de la meilleure des façons. Et que l’homme ne lui réclame pas son droit d’une façon parfaite car il n’est pas possible à la femme de l’accomplir à la perfection.


 Donc que les hommes pardonnent et qu’ils laissent passer les choses insignifiantes. »[3]


[1] Voir ar-Rawda an-Nâdiya annoté par Cheikh al Albani, page 218.
[2]
Hadith authentique rapporté par Boukhari et Mouslim.
[3]
Explication de Ryadh as-Salihines, Chapitre :

« La recommandation en faveur des femmes » de Cheikh al ‘Otheïmine .


 

Cheikh Al Outheimine ( Rahimahu llah )

 

copié de http://www.al.baida.online.fr/femme_devoirepoux.htm

 

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 13:46

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Nous avons demandez à Cheikh Mouqbil ibn Hâdi al Wâdi’i -Qu’Allah lui fasse miséricorde- : 


« Avez-vous des conseils à donner aux époux sachant que les problèmes conjugaux et le divorce sont devenus banalité chez ceux qui se revendiquent de la sounnah, au point que cela tourne à l’anarchie ».
 


Sa réponse fut la suivante : « Ce que nous recommandons aux époux c’est de s’entraider dans le bien et la piété et je leur conseille également d’adopter un bon comportement des deux côtés, le chaytan cherche à séparer la femme de son mari, jusqu’à ce que dans certains Hadiths authentiques : 


« Chaytan envoie ses enfants pour semer la discorde entre les gens et l’un d’entre eux dit: « Je ne l’ai pas  lâché jusqu’à ce qu’il se sépare de sa femme » Et chaytan lui dit : « Toi tu es valeureux »,
 


Et dans d’autres versions : « Jusqu’à ce qu’il le tue et de lui dire:  « Toi, tu es valeureux »
 


L’homme doit bien se conduire avec sa femme comme vous avez pu l’entendre dans les Hadiths

« Comportez-vous bien avec les femmes »

c’est-à-dire comme avec des captives.Et Allah a dit dans Son livre:

 

Traduction relative et rapprochée: « … Et n’oubliez pas votre faveur mutuelle… » S2 V237 


Et la femme est faible; Le messager -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- disait à son armée alors qu’il chantait aux chameaux pour qu’ils avancent rapidement : « Doucement avec les perles ! » C’est-à-dire les femmes sur les chameaux, qui pourraient tomber à cause de la vitesse, donc la femme est comme une lampe[ou une bouteille (en verre)] on se doit de bien se comporter avec elle. Allah a dit :

 

Traduction relative et rapprochée: « Et parmi Ses signes, Il a créé de vous, pour vous, des épouses pour que vous cohabitiez avec elles, et Il a mis entre vous de l’affection et de la bonté » S30 V21  «... Pour que vous cohabitiez avec elles... »:

 

c’est-à-dire qu’il trouve le réconfort auprès d’elle.

 

 La femme également doit craindre Allah à travers son mari, il va au travail et travaille toute la journée, il ne doit pas retrouver à la maison une femme qui lui demande de se justifier pour toute chose aussi minime soit-elle, mais elle doit être la meilleur aide pour lui, comme le fut Khadija alors que le prophète vint la voir effrayé, car il avait vu Gibril qui l’avait serré et il a eut peur que ce ne soit un chaytan ou autre chose, elle dit: 

 

«  Non par Allah ! Allah ne t’abandonnera pas.
Tu gardes les liens de parenté, et tu donnes aux nécessiteux »


 Donc la femme doit craindre Allah à travers son mari et patienter avec lui, elle doit patienter avec lui, et après peu ils auront des enfants et ils seront préoccupés par leurs enfants, mais si le musulman le Sounni, se marie, divorce, se marie, divorce, et bien cela fera fuir beaucoup de femmes de la Sounnah. Il faut comme l’a dit Allah -'Azza wa jal- c’est Lui qui a uni les époux, il faut qu’ils se préoccupent de l’adoration, de la science, et c’est à Allah que nous implorons l’aide. » 

 

Cheikh Muqbil ibn Hadi Al Wadi'i


 

 Lien de la vidéo


copié de http://al.baida.online.fr/femme_problemcoupl.htm

 

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14 septembre 2012 5 14 /09 /septembre /2012 22:08

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La question 2 de la Fatwa numéro ( 14837 )

 

Q2 : Est-il permis à l'homme de commercer avec sa femme

avant qu'elle ne prenne son bain rituel après la période des menstrues ?

 

R2 : Il n'est pas permis à l'homme de commercer avec sa femme avant qu'elle n'ait pris son bain rituel après la période des menstrues selon cette Parole d'Allah l'Exalté : et ne les approchez que quand elles sont pures. Quand elles se sont purifiées, alors cohabitez avec elles suivant les prescriptions d'Allah Cela signifie : quand elles auront pris leur bain rituel d'après l'exégèse d'Ibn 'Abbas. Allah le Très-Haut a dit : que quand elles sont pures. Cela veut dire, quand le mal, qui est les règles, aura cessé. Il a ensuite dit : Quand elles se sont purifiées, alors cohabitez avec elles suivant les prescriptions d'Allah Cela veut dire, quand elles auront pris leur bain rituel, commercez avec elles selon les préceptes d'Allah. Ainsi, Allah a mis deux conditions pour que le rapport avec la femme soit permis après les menstrues : celle de la fin des règles décrite par le fait d'être pure, et celle de la prise du bain rituel décrite par le fait de se purifier. Ensuite, Allah l'Exalté à loué ceux qui respectent Ses préceptes lorsqu'Il a dit :

car Allah aime ceux qui se repentent, et Il aime ceux qui se purifient". .


Qu'Allah vous accorde la réussite et que les prières et le salut soient

sur notre Prophète Mohammad, ainsi que sur sa famille et ses compagnons.

 
Le Comité Permanent des Recherches Scientifiques et de la Délivrance des Fatwas (Al-Iftâ')
 
Membre Vice-président Président
`Abd-Allah ibn Ghoudayân `Abd-Ar-Razâq `Affifî `Abd-Al-`Azîz ibn `Abd-Allah ibn Bâz

 

Copié de Alifta.net

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