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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 01:49
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Cependant  l'homme ne sera pas puni s'il porte plus d'affection (ou d'amour) pour une de ses épouses par rapport aux autres, car il ne peut pas maîtriser son cœur. 

Ceci est l'avis de l'imam ach-Chawkani dans « Neil al Awtar » (6/371), ainsi que de la majorité des savants. 

C'est d'ailleurs à ce sujet qu'Allah -Le Très Haut- a dit : traduction relative et rapprochée : 


« Vous ne pourrez jamais être équitables entre vos femmes même si vous en êtes soucieux » S4 V129  

Ibn Kathir dit justement au sujet de ce verset :

« C'est une réalité tangible et quel que soit le désir des hommes, ils ne pourront être équitables à l'égard de chacune de leur femme, car même si un homme consacre un jour et une nuit à chacune d'elles, il y aura certainement une différence de sentiments quant à l'amour et au désir ainsi que les rapports sexuels. Ce verset était descendu sur 'Aïcha, selon une version, car comme on le sait le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-  était équitable mais 'Aïcha était celle qu'il aimait le plus. »

Et à cet égard 'Abdoullah ibn Yazid rapporte que 'Aïcha a dit :

« Le Messager d'Allah -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- , partageait ses jours entre ses femmes équitablement et disait :

« Mon Dieu, c'est mon partage de ce que je possède.
Ne me blâme pas pour une chose que Tu possèdes et que je ne possède pas » (1)

Ibn Kathir ajoute : « Il s'agit ici du cœur. »  

Notre Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- était donc équitable entre ses épouses, et ne faisait pas de différence entre elles, mais malgré cela, il portait plus d'affection à 'Aïcha.

Plusieurs Hadiths en sont la preuve.

Selon 'Amr ibn al 'Ass, il demanda au Prophète 
-Prières et bénédiction d'Allah sur lui-  :

« Quelle est la personne que tu aimes le plus ? Il dit : « 'Aïcha »
« Et parmi les hommes » Il dit : « son père ».
Je lui demandai « Et après ? » Il me répondit « 'Omar ibn al Khattab »(2)
Al Boukhari cite dans son Sahih
« Chapitre :  Le fait qu'un homme aime une femme plus qu'une autre »

Hadith n° 5218 : Ibn 'Abbas a entendu 'Omar ibn al Khattab dire, alors qu'un jour il se trouvait chez sa fille Hafsa :

« O ma fille ! Gares à t'identifier à celle dont les qualités lui valent l'amour du Messager d'Allah -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- , en voulant parler de 'Aïcha, elle alla alors raconter cela au Messager d'Allah qui en souria. ».

'Aïcha rapporte 


« Lorsque le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- 
tomba malade (avant sa mort) il disait, « Où suis-je demain ? Où suis-je demain ? » Parce qu'il voulait être chez 'Aïcha ce jour là, c'est alors que ses femmes lui autorisèrent à rester là où il voulait, ce fut alors dans la chambre de 'Aïcha, et c'est là qu'il mourut et 'Aïcha ajouta : « Il mourut le jour où il devait être chez moi, et Allah prit son âme alors que sa tête était entre mon coup et ma poitrine, et sa salive se mélangea avec la mienne. » (3)

On rapporte également : 

« Parmi les femmes du Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- il  y avait deux groupes, l'un celui de 'Aïcha composé de Hafsa, Safiya et Sawda, et l'autre de Oummou Salama et les autres femmes du Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- . Les musulmans sachant l'amour qu'il portait pour 'Aïcha, attendaient le tour de 'Aïcha pour offrir un cadeau au Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- , c'est alors qu'ils l'envoyaient toujours chez elle. Jusqu'au jour où le groupe d'Oummou Salama, décida de parler et demanda à Oummou Salama de s'adresser au Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- de cette situation : « Dis au Prophète de s'adresser aux gens et qu'il  leur dise que celui qui veut offrir quelque chose au Prophète qu'il l'offre dans n'importe quelle maison de ses femmes. » Elle lui adressa alors ces paroles, mais il -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- ne lui dit rien. Elles lui demandèrent et elle répondit qu'il n'avait rien dit, mais elles lui dirent : «  Mais parles lui ! », elle lui parla de nouveau lorsque se fut son tour, mais il ne lui répondit pas, elles lui demandèrent et elle dit : « Il ne m'a rien dit. », elles dirent : « Parles lui jusqu'à ce qu'il te parle ! », ce fut de nouveau son tour et elle lui reparla, et le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui- lui dit enfin : « Ô Ommou Salama ! Ne me blesse pas en parlant ainsi de 'Aïcha, car par Allah ! La révélation ne m'est venue que dans le lit d'une seule d'entre-vous (celui de 'Aïcha) » elle lui dit alors : « Je demande pardon à Allah, de t'avoir blessé Ô Messager d'Allah ! » (4)

Lors d'un voyage 'Aïcha raconte: 

« Le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-  faisait un tirage au sort entre ses épouses pour choisir celle qui devait partir avec lui. Une fois, 'Aïcha et Hafsa eurent la possibilité de partir avec lui. Alors qu'il avait la coutume d'accompagner 'Aïcha de nuit et de discuter avec elle, Hafsa dit à 'Aïcha : « Ne veux-tu pas essayer cette nuit-ci mon chameau et me laisser essayer le tient ? » « Oui » Répliqua 'Aïcha. La nuit il s'approcha du chameau de 'Aïcha sur lequel il y avait Hafsa et passa le Salam avant de continuer le chemin avec cette dernière (c'est à dire Hafsa). Et une fois le camp installé, 'Aïcha se dit : « Seigneur ! Fais que je sois mordue par un scorpion ou une vipère avant de pouvoir dire quoi que ce soit au Prophète ! ».(5)

Le fait de céder sa nuit à sa coépouse est toléré

Le Prophète -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-  savait se partager entre ses femmes, et Sawda qui avait vieilli et qui voulait toujours rester la femme du Prophète dans cette vie d'ici-bas et être aussi sa femme dans l'au-delà, avait cédé son tour à 'Aïcha, qui rapporte :   

« Je n'ai jamais vu une autre femme que Sawda bint Zam'a à qui j'aurais aimé m'identifier de par son noble caractère, et son intelligence ».  

Puis elle poursuivit : « Lorsqu'elle devint âgée, elle céda sa nuit à 'Aïcha en disant Ô Envoyé d'Allah j'ai cédé ma nuit à 'Aïcha. » (6)

Le Messager d'Allah  -Prières et bénédiction d'Allah sur lui-  consacrait  deux nuits à 'Aïcha : celle de 'Aïcha  et la nuit de Sawda.

(1) Hadith rapporté par Ahmad et dans les quatre Sounanes.
(2) Sahih rapporté par at-Tirmidhi 3/46
(3) Hadith Sahih rapporté par al Boukhari n°5217.
(4) Hadith Sahih rapporté par al Boukhari n°2574.
(5) Hadith Sahih rapporté par al Boukhari
(6) Hadith rapporté par Mouslim n°1463.


copié de al.baida.online.fr

 

tiré de 3ilm.char3i.over-blog.com

 

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Published by Le couple en islam - dans La polygamie
3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 01:24

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Al-Imâm Ibn Qoudâma al-Maqdissî (rahimahullâh) a dit que si, en épousant une femme on accepte la condition de ne pas la déplacer de son domicile paternel ou de son pays, la condition devra être respectée, en vertu de ce qui a été rapporté du Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) : « Les conditions les plus dignes d'être respectées sont celles qui vous ont permis de jouir de rapports sexuels. » [1]


Si on épouse une femme à condition de ne pas lui donner une coépouse, elle a le droit de se séparer du mari, s'il la lui donne. 

Tout cela se résume en ceci que les conditions matrimoniales sont de trois catégories :

L'une d'elles consiste dans les conditions dont le respect est obligatoire. 

Ce sont les conditions qui procurent un avantage à la femme comme le fait de ne pas la déplacer de son domicile paternel, ou de son pays ou de ne pas voyager avec elle ou de ne pas lui donner une coépouse ou de ne pas prendre une concubine. 
 
Ces conditions sont à respecter obligatoirement.
S'il ne le fait pas, elle a le droit de faire dissoudre le mariage
[...] 
[2]

Et SHeikh ul-Islâm Ibn Taymiyyah (rahimahullâh) interrogé sur la question répondit aussi, que la réponse est oui. 
 
Ces conditions sont valables conformément à l'école de l'Imâm Ahmad et à l'avis des Compagnons [as-Sahâba] et de leurs successeurs immédiats [tâbi'îne].
 
C'était en particulier l'avis de 'Oumar Ibn al-Khattâb, de Amr Ibn al-'As, de Chourayh al-Qadhî, de al-Awza'î, ainsi que de Ishaq.
 
Pour l'imâm Mâlik, si l'épouse formule dès l'établissement du contrat du mariage la condition de pouvoir disposer d'elle-même, cette condition est valable et permet à la femme de se séparer du mari. 
 
Cet avis ressemble à celui adopté par l'école de l'imâm Ahmad. 
 
Car ils reposent tous les deux sur ce qui a été rapporté dans les Deux Sahîh d'après le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) : 

« Les conditions les plus dignes d'être respectées sont celles qui vous ont permis de jouir de rapports sexuels »

'Oumar Ibn al-Khattâb a dit : « En matière de droit, les conditions sont décisives »

Le Prophète (sallallahu 'alayhi wa sallam) considère que les conditions qui permettent de jouir des rapports sexuels sont plus dignes d'être respectées que les autres.

Ce qui est bien le cas ici. 
[3] 

Cheikh Ul-Islam Taqiyud-din Ibn Taymiyyah
Imam Ibn Qoudâma al-Maqdissî

Notes
[1] Rapporté par al-Bukhârî - n°5151, et authentifié par SHeikh al-Albânî dans « Irwâ al-Ghalîl - n°1892 »
[2] Kitâb « al-Moughnî » de Ibn Qoudâma, 6/384
[3]
kitâb « al-Fatâwa al-Koubra » de Ibn Taymiyyah, 3/90
 
copié de manhajulhaqq.com
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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 00:44

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Question : 


Comment juger la réprobation de la polygamie par la femme en raison de la jalousie qui est naturelle chez elle. Nous avons lu des récits relatant des aspects de la jalousie d'Aïcha par rapport au Messager d'Allah . Que dire alors de nous ? J'ai lu encore dans certains livres que la réprobation d'une disposition de la Charia est considérée comme une impiété ? 

Réponse : 

La jalouse de la femme envers son mari est naturelle. On ne peut pas dire à une femme : ne soyez pas jalouse à l'égard de votre mari. La réprobation d'une chose, fût-elle légale, ne nuit son auteur s'il n'en réprouve pas la légalité. A ce propos le Très Haut dit :-traduction relatvie et approchée- « Le combat vous a été prescrit alors qu'il vous est désagréable. Or, il se peut que vous ayez de l'aversion pour une chose alors qu'elle vous est un bien. Et il se peut que vous aimiez une chose alors qu'elle vous est mauvaise. C' est Allah qui sait, alors que vous ne savez pas. » (Sourate 2 verset 215) 

La femme jalouse ne réprouve pas qu'Allah ait autorisé son mari à avoir plus d'une femme, mais elle réprouve la venue d'une autre épouse ! Or il y a une différence claire entre les deux attitudes.  
C'est pourquoi je demande au frère, auteur de la question, et aux autres de réfléchir profondément et de ne pas se précipiter et de déceler les différences subtiles qui se répercutent clairement sur les dispositions. 

 


(Source : Extrait des Fatawa de son éminence Cheikh Ibn 'Outheymine ah: pour la Revue ad-Dawa) 
copié de fourqane.fr

Cheikh Mouhammad Ibn Salih Ibn ’Outheymin
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3 février 2012 5 03 /02 /février /2012 00:33

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Question :

 

Il y a dans le Saint Coran un noble verset sur la polygamie qui dit :

 

« […] mais si vous craignez de ne pas être justes avec celles-ci, alors n'en épousez qu'une seule […] » ( Sourate An Nisa ( 4 ) / 3 )

 

et un autre verset qui dit :

 

« Vous ne pourrez être équitables entre vos femmes, même si vous vous y appliquez » ( Sourate An Nisa ( 4 ) / 129 ) 

 

Dans le premier, le Seigneur conditionna la polygamie par l’équité, et dans le second, il est clair que la condition d’équité n’est pas possible ; cela signifie-t-il donc que le premier verset a été annulé par le second et qu’il n’est permis que d’épouser une seule sachant que l’équité est impraticable ?

 

Réponse :

 

Il n’y a aucune contradiction entre les deux versets et aucun verset n’annule l’autre.   En fait, l’équité obligatoire est celle dont on est capable, en matière de biens répartis entre les épouses et de pension. Quant à l’équité en amour et dans tout ce qui est relatif à la relation sexuelle, cela n’est pas de l’ordre du possible.

 

C’est le sens de : « Vous ne pourrez être équitables entre vos femmes, même si vous vous y appliquez » (Sourate An Nisa ( 4 ) /129 )

 

C’est ainsi qu’il a été rapporté par Aïcha – qu’Allah l’agrée – que le Messager d’Allah – que la paix et la bénédiction d’Allah soient sur lui – avait l’habitude de dire, chaque fois qu'il partageait quelque chose entre ses épouses – et il le faisait en toute équité – : 

 

« Ô Allah, tel est mon engagement envers Toi dans ce qui est en mon pouvoir, ne me reproche pas ce que Tu peux et que je ne peux pas » 

 

et Allah est le Garant du succès.

 

Cheikh Ibn Bâz, Fatâwâ al-mar'ah (Les fatwas de la femme), p. 62


 Cheikh 'Abdel-'Azîz Ibn 'Abdi-llâh Ibn Bâz

 

copié de 3ilm.char3i.over-blog.com

 

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2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 23:37
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 Si l'homme trouve sa femme en état de menstrues lors de la nuit de noce, doit-il prier tout seul les deux rak'at ou attendre qu'elle soit purifiée ? 

Réponse : En ce qui concerne la prière des mariés il est recommandé aux deux époux de prier ensemble conformément à ce qui est rapporté sur cela.

Et il met sa main sur la tête de sa femme, et il invoque au moment de la consommation et avant la consommation, et il demande à Allah Ta'ala la bénédiction.

Et des ahadith ont été rapporté concernant cela comme :

« Ô Allah ! Je Te demande son bienfait et le bienfait dont Tu as fait une nature en elle, et je me place sous Ta protection contre son mal et le mal dont Tu as fait une nature en elle. »

Mais s'il arrive qu'elle soit en état de menstrues cette nuit-là, alors il apparaît qu'il prie tout seul. 

Et si ils prient ensemble, cela a été instauré dans le but d'établir la concorde et de maintenir des liens privilégiés entre les 2 époux. 

Sinon il prie deux rak'at en remerciant Allah ta'ala de lui avoir permis de suivre la sounnah des prophètes et des messagers de qui il nous est obligatoire de suivre la trace et d'être guidés par leur guidée comme Allah ta'ala a dit :

« Et nous avons certes envoyé avant toi des messagers, et leur avons donné des épouses et des descendants. » (s13 v38)

Et il est évident que sont interdits à la femme, durant sa période de menstrues, la prière et autres règles en vertu de la parole du prophète 'alayhi assalat wa assalam:

« ne fais pas la salat pendant les jours de tes menstrues », 

et il faut attirer l'attention ici sur le fait que la femme doive choisir un jour parmi ceux durant lesquelles elle est purifiée afin de se mettre d'accord avec le mari sur le jour de la consommation du mariage afin d'accomplir toutes les sounan parmi les prières, consommation, et autres que cela, jusqu'à ce que la joie et les réjouissances soient complètes en ce jour, conformément à la chari'a en évitant toute entrave à la pratique de la sounnah de l'élu (Al Mustafa) 'alayhi assalat wa assalam..

 

copié de darwa.com
Cheikh Abou Abdil-Mou'az Mouhammad 'Ali Farkouss 
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Published by Le couple en islam - dans La Nuit de noces
2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 23:11

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Au vu des traditions ancrées dans les fêtes de mariages, dont certaines correspondent a la sharia et d'autres vont à son encontre, et au vu du nombre de frères et de soeurs s'interrogeant sur leur jugement, une cassette de notre noble shaykh Mohamed Ali Ferkouss qui a traité le sujet de façon très complète, a été traduite. 

Ces questions émanent de nos frères de la commune de Douaouda, qui interrogent sur des sujets concernant le mariage :


 Est-il permis d'embellir la voiture et de la décorer avec des morceaux de tissu afin de la reconnaître le jour du mariage ?

Réponse : Nous disons, concernant le fait d'embellir la voiture pour le mariage afin de la distinguer des autres voitures, qu'il n'y a pas d'interdiction en cela, s'il entoure la voiture par des morceaux de tissu pour la décorer. Cela est similaire au palanquin qui était spécifique aux femmes mariées, sur le chameau qui la portait. Il était paré de diverses étoffes pour exprimer la joie et le bonheur, et cela correspondait aux moments de réjouissance et de fête.

Mais le fait de mettre des fleurs sur les voitures, fait parti des traditions d'autres que nous, car cela est connu chez les chrétiens.

Après avoir conclu l'acte de mariage à l'église, ils prennent des photos devant la porte de l'église puis on leur jette des fleurs.

Et eux décorent également la voiture avec des fleurs de toute part, à l'intérieur et l'extérieur, et cela fait parti de leurs traditions et ne nous concerne pas - fait parti du bel islam de quelqu'un, qu'il délaisse ce qui ne le regarde pas-.


 
Est-il permis de faire un cortège le jour des noces allant de la maison de la mariée jusque chez le marié, et sans emprunter le chemin le plus court ? Est-il permis également de klaxonner ?


Réponse : Si le cortège est fait dans le but d'informer [les gens] du mariage et avec le consentement des époux alors il n'y a pas de mal, à condition qu'il n'y ait pas d'actes contraires à ce qui est légiféré comme l'apparition de femmes non voilées par les fenêtres des voitures et ce qui suit les voitures comme les mazamir, les darbouka et les klaxons qui dérangent les gens et plus particulièrement aux moments de la sieste.

Et de telles choses nuisent aux gens, et la nuisance doit cesser comme il a été rapporté de façon sûre d'Ibn 'Abbas radhiallahou aanhou qui a entendu le prophète aalayhi salat wa salam dire :
لا ضرر و لا ضرار, alors en l'utilisant en arrivant ou avant d'arriver à la maison des époux pour prévenir de l'arrivée dans ce cas cela est permis pour préparer le mari au mariage et faire rentrer la joie au sein de sa famille

 Est-il permis de tirer des coups de feu avec des fusils le jour du mariage ?

Réponse : Je dis, et Allah est plus savant, que le fait de tirer des coups de feu doit être différencié selon la croyance [à laquelle il renvoie].

Si il fait cela dans le but d'écarter le mauvais oeil et les jinn et ce qui s'y rapproche, ou implique la déformation alors il est interdit en raison de sa croyance, le mal qui en découle plus particulièrement de nos jours.

Mais si il est dépourvu de tout cela et le souhait par cela était d'annoncer le mariage en conformité avec la parole du prophète 'alayhi assalam :

« annoncez le mariage , et tapez sur le duff »,

alors j'espère que cela correspondra à la généralité de l'annonce qui provient du duff ou autre que lui.

Et nul doute que cette question doit être analysée selon les coutumes des gens et leurs croyances.

Et celui qui pose la question doit apprendre les traditions de son pays et délaisser tout comportement pouvant l'amener à porter préjudice à sa croyance ou qui soit la cause d'une nuisance pour lui et autrui. 

 Le mariage sans taper le duff est-il permis ? 

Réponse : Il n'y a pas d'interdiction en ce qui concerne le mariage sans taper du duff, l'essentiel étant qu'il fasse parvenir l'annonce (du mariage) de n'importe quelle manière.

 Est-il permis d'utiliser des k7 de anachid lors du mariage ?

La réponse sur cela est que si ces anachid se passent de mazamir (NDT:sorte de flûte) et des instruments de musique et ses paroles ne décrivent pas la beauté de la femme et l'alcool et les palais et que cela a lieu entre les femmes et que ces anachid sont chantés par une femme, avec ces conditions j'espère que cela est permis.

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 La walima est elle obligatoire pour un mari qui a des dettes ?

Réponse : Ce qui est connu est que la walima est obligatoire, ainsi il lui faut faire une walima après avoir procédé à la consommation en vertu de l'ordre du prophète salallahu aalayhi wa salam à 'Abd arrahmane ibn 'Awf, et également le hadith qui contient le fait que le mari doive faire une walima.

Et cette walima doit être effectuée 3 jours après la consommation comme il est connu et rapporté du prophète salallahu aalayhi wa salam.

Et ceux qui sont invités à cette walima, qu'ils soient pauvres ou riches, doivent faire parti des gens pieux en vertu de la parole du prophète salallahu aalayhi wa salam :

« Ne prends comme ami qu'un croyant et que ne mange de ta nourriture que celui qui est pieux »,

et il égorge un mouton ou plus si il en a les moyens, mais dans le cas contraire, alors il ne lui est pas conditionné qu'il y ait de la viande à sa walima et il lui est permis que cela soit fait sans viande.

Et celui qui a des dettes doit insister auprès de son ami afin qu'il lui accorde un délai lui permettant de se préserver de tomber dans les interdits.

Et son mariage est valide.

Et il lui est obligatoire de rembourser les dettes qu'il a.

 Est-il permis d'inviter à la walima les voisins qui ne font pas la prière et commettent des actes indécents et des grands pêchés ?

Réponse : Nous avons avancé dans la réponse précédente que le prophète 'alayhi assalat wa assalam a dit :

« Ne prends comme ami qu'un croyant et que ne mange de ta nourriture que celui qui est pieux »,

donc il y invite les gens vertueux qu'ils soient riches ou pauvres. Inviter les voisins qui ne font pas la prière et commettent des grands pêchés, cela n'est pas permis, sauf s'il espère leur guidée et leur acceptation, dans ce cas là il est permis de les appeler et les inviter à cette walima pour celui qui espère leur droiture et leur guidée. Et cela car le fait d'inviter les gens du péché équivaut à agréer leurs actes. Et agréer leur péché est un pêcher, et agréer leurs actes de désobéissance est un acte de désobéissance.

 Est-il permis de demander de l'aide aux associations de bienfaisance en ce qui concerne les projets de mariage, avec ce qu'ils commettent comme actes blâmables en organisant ce mariage ?

Réponse : Le musulman ne demande de l'aide qu'à Allah Soubhanahou wa Ta'ala , et cela car Allah Soubhanahou wa Ta'Ala est le meilleur garant pouvant mettre à sa disposition des gens qui l'aideront pour le mariage s'il cherche à rester chaste et veut préserver son âme. Et c'est une promesse d'Allah Soubhanahou wa Ta'ala lorsqu'Il dit :

« Et que ceux qui n'ont pas de quoi se marier, cherchent à rester chastes jusqu'à ce qu'Allah les enrichisse par Sa grâce » (s24 v33)

et 'alayhi assalat wa assalam a dit :

« Il y a 3 personnes qui méritent qu'Allah leur vienne en aide : celui qui veut se marier afin de préserver sa chasteté, l'endetté voulant rembourser ses dettes et le combattant dans la voie d'Allah ».

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 Si l'homme trouve sa femme en état de menstrues lors de la nuit de noce, doit-il prier tout seul les deux rak'at ou attendre qu'elle soit purifiée ? 

Réponse : En ce qui concerne la prière des mariés il est recommandé aux deux époux de prier ensemble conformément à ce qui est rapporté sur cela.

Et il met sa main sur la tête de sa femme, et il invoque au moment de la consommation et avant la consommation, et il demande à Allah Ta'ala la bénédiction.

Et des ahadith ont été rapporté concernant cela comme :

« Ô Allah ! Je Te demande son bienfait et le bienfait dont Tu as fait une nature en elle, et je me place sous Ta protection contre son mal et le mal dont Tu as fait une nature en elle. »

Mais s'il arrive qu'elle soit en état de menstrues cette nuit-là, alors il apparaît qu'il prie tout seul. 

Et si ils prient ensemble, cela a été instauré dans le but d'établir la concorde et de maintenir des liens privilégiés entre les 2 époux. 

Sinon il prie deux rak'at en remerciant Allah ta'ala de lui avoir permis de suivre la sounnah des prophètes et des messagers de qui il nous est obligatoire de suivre la trace et d'être guidés par leur guidée comme Allah ta'ala a dit :

« Et nous avons certes envoyé avant toi des messagers, et leur avons donné des épouses et des descendants. » (s13 v38)

Et il est évident que sont interdits à la femme, durant sa période de menstrues, la prière et autres règles en vertu de la parole du prophète 'alayhi assalat wa assalam:

« ne fais pas la salat pendant les jours de tes menstrues », 

et il faut attirer l'attention ici sur le fait que la femme doive choisir un jour parmi ceux durant lesquelles elle est purifiée afin de se mettre d'accord avec le mari sur le jour de la consommation du mariage afin d'accomplir toutes les sounan parmi les prières, consommation, et autres que cela, jusqu'à ce que la joie et les réjouissances soient complètes en ce jour, conformément à la chari'a en évitant toute entrave à la pratique de la sounnah de l'élu (Al Mustafa) 'alayhi assalat wa assalam..

 Beaucoup de femmes, le jour de leur mariage, procèdent à ce qui est appelé « التصديرة» (at-tasdira).

Et on trouve avec elle une tradition qui est le henné.

Cette tradition comporte des éléments qui sous-entendent une croyance qui est que si la mariée ne met pas de henné, elle n'aura pas d'enfants. Et à la fin du henné, il est obligatoire de dissimuler le vase sur lequel se trouvait le henné pour qu'il ne tombe pas sur une fille malicieuse, jalouse et qui pratique la sorcellerie et ajoute un préjudice à la mariée. Et ainsi le henné qui se trouve sur la main de la mariée ne doit pas tomber dans la main de quelqu'un qui l'utiliserait dans la sorcellerie, و العياذ بالله. Et le henné est parfois mélangé à des ½ufs car ils disent que l'usage des oeufs favorise l'engendrement. 

Ainsi après avoir raconté cette croyance, concernant cette tradition, quel en est le jugement ?

Tout en sachant que (propos inaudibles) et elles protestent en disant qu'il ne s'agit que d'une habitude et que leur intention est bonne.

Mais si il leur est demandé de s'en passer puisqu'il ne s'agit que d'une habitude, et le fait de la délaisser ne nuira donc pas, elles s'y tiennent toujours.
 


Réponse: Tout d'abord, il y a dans « attassdira » du gaspillage dans les robes que la mariée met le jour de son mariage.

Et elle dépense beaucoup d'argent alors qu'elle ne s'en servira plus après, et c'est une cause menant à la vantardise et fierté.

De plus la mariée dévoile sa 'awra devant celles qui l'aident à changer ses vêtements. Si tout cela est inclus, le gaspillage et la dilapidation, alors il n'y a pas de doute que cela n'est pas permis car Allah ta'ala nous a interdit le gaspillage. Ainsi Il - ta'ala- a dit (traduction relative et approchée) :

« car les gaspilleurs sont les frères des diables; et le diable est très ingrat envers son Seigneur. »(s17 v27)

Quant au henné qui est mentionné dans la question, nous avons une réponse écrite le concernant, et celle-ci est que la bonne intention ne justifie pas l'interdit. 

Ainsi, si cette tradition est mêlée à cette croyance, alors le fait de la pratiquer est une forme de chirk (polythéisme) qui est réprimée dans la législation et par le hadith :

« l'enchantement relève du chirk »,

et par le hadith marfou'
« Quiconque s'attache à une amulette (tamimah) qu'Allah fasse en sorte que ses projets n'aboutissent pas, et quiconque s'attache à un coquillage (wad'a), qu'Allah ne le laisse pas goûter le repos » et par le hadith marfou' authentique :« celui dont le coeur s'attache à une chose y sera voué [et sera délaissé par Allah] » .

Cette tradition et toutes les traditions, qui sont à la base interdites, peuvent nuire à la chari'a. Si il s'avère que la coutume et la tradition rendent illicites le licite ou rendent licites l'illicite alors elles sont du fasad inutile. Et le fait de lui donner de la considération n'est pas permis au niveau de la chari'a, et est un péché pour celui qui la pratique. Et dans la mesure où le fait d'avoir cette croyance interdite est répandu parmi les gens, alors le fait que seule une minorité le renie par le c½ur ne le rend pas licite pour autant car la base est connue par cette croyance prohibée. Et le fait de s'y cramponner en voulant la beauté et l'embellissement n'empêche pas la présence de la mauvaise croyance chez certaines personnes.
Donc en la pratiquant de cette manière, cela sera de l'entraide à l'inutilité et au péché. Allah ta'ala a dit:

« Entraidez-vous dans l'accomplissement des bonnes oeuvres et de la piété et ne vous entraidez pas dans le péché et la transgression » (s5 v2).

Et c'est pour cela qu'il faut agir afin de couper de façon absolue tout chemin menant au fassad et ce en utilisant le principe qui consiste à empêcher tout mal de se produire. Et car le fait de repousser la nuisance d'une croyance interdite passe avant l'intérêt qui réside dans le fait de s'embellir comme cela est établi dans les règles de al massalih al moursala (NDT : il s'agit d'une notion dans oussoul al fiqh) . 

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 Est il permis à la femme de s'asseoir sur un coussin et mettre son pied sur un autre coussin et de s'asseoir sur une chaise qui soit au-dessus des autres femmes assises ?

Réponse : Cette question rejoint la réponse précédente. Si cela est dans le but d'être vu, par ostentation et fierté, alors c'est de l'orgueil et de la vanité. 

 Y a t-il dans le fait que la femme porte un barnouss le jour de son mariage une ressemblance aux hommes ou non ?

Réponse : Ce qui apparaît est qu'il y a une ressemblance aux hommes car il n'est pas connu dans les moeurs que la femme porte le barnouss.

 Quel est le jugement concernant « al maqrout » qui est une sorte de gâteau que l'on distribue le lendemain matin de la nuit de noce ? Sachant qu'on ne le donne que quand on découvre que la femme est vierge et dans le cas contraire on ne le distribue pas ?

Réponse : Si il symbolise cette croyance, alors cela n'est pas permis. Mais dans le cas contraire, il s'agit d'une habitude qui représente la joie et le bonheur.

 Quel est le jugement concernant les chaussures à talons hauts portées par les femmes quand elles sont entre femmes, et quelle est la limite de la hauteur du talon ?

Réponse : Les talons hauts ne sont pas permis du fait qu'ils changent la création (d'Allah) et qu'ils trompent les gens en faisant croire que la personne est grande alors que ce n'est pas le cas. De plus, les talons hauts créent une fitna en raison de la démarche qu'elle aura avec.

copié de darwa.com
Cheikh Abou Abdil-Mou'az Mouhammad 'Ali Farkouss 
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Published by Le couple en islam - dans Préparatifs & fête de mariage
2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 22:40

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Question :


Ce questionneur demande, et il est aussi de France :
M'est-il permis de me marier auprès d'un gouvernant mécréant ou pas, ensuite le mariage islamique ou le contraire ? 


Réponse du Cheikh Ahmad Ibn Yahya An-Nadjmi  le 01 mai 2006 lors de ses cours sur paltalk : 

« Louange à Allah. Et que les prières et les bénédictions soient sur le Messager d'Allah  . Si le questionneur entend par là qu'il annonce son mariage à la mairie comme cela est connu dans les pays mécréants, alors, ce qui est prioritaire, mais plutôt obligatoire, c'est de se marier religieusement, ensuite après cela, d'aller à la mairie et d'annoncer leur mariage à la mairie. 

Par contre, si par exemple il considère que le mariage (valide) est celui qui se déroule à la mairie, alors non ! Cela est une erreur.

Il (le mariage à la mairie) n'est pas valable. 

Il faut impérativement faire précéder le mariage religieux par un responsable légitime, et après cela, aller à la mairie et dire : « Je veux me marier... » et il annonce son mariage. » 

copié de fourqane.fr
Cheikh Ahmed Ibn Yahya An-Nadjmi
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Published by Le couple en islam - dans Démarches pour le mariage
2 février 2012 4 02 /02 /février /2012 22:04

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Question :


L'un de mes proches a demandé ma main, mais j'ai entendu que le mariage avec des personnes éloignées est meilleur pour, entre autres, l'avenir des enfants. Que pensez-vous de cela ?

Réponse : 

Cette règle a été citée par certains savants qui ont mentionné que l'hérédité a une influence sur l'enfant. 

Il n'y a pas de doute que celle-ci a une influence sur le comportement de l'homme et sur son physique. 

D'ailleurs, un homme était venu voir le Prophète, prière et salut d'Allah sur lui, et lui a dit : 

« Ô Messager d'Allah ! Ma femme a accouché d'un garçon noir. » 
Il suspectait par là sa femme d'adultère, car comment se faisait-il que l'enfant soit noir alors que ses parents étaient tous deux blancs. 
Le Prophète, prière et salut d'Allah sur lui, lui dit :
« As-tu des chameaux ? » 
Il répondit : « Oui ». 
« De quelle couleur ? », lui demanda-t-il. 
Il répondit « Roux ». 
Il lui demanda encore : « Y a-t-il parmi eux un chameau gris ? ». 
Il répondit : « Oui ». 
Il répliqua : « Et comment cela se fait-il ? ». 
Il dit : « Il se peut qu'il ait hérité cela de l'un de ses ascendants. » 
Le Prophète, prière et salut d'Allah sur lui, dit aussitôt : « Alors, il se peut aussi que ton fils ait hérité sa couleur de l'un de ses ascendants. » (1)

Ce hadith est une preuve que l'hérédité a une influence, et il n'y a aucun doute concernant cela.

D'autre part, le Prophète, prière et salut d'Allah sur lui, dit :

« On épouse la femme pour quatre raisons : pour son argent, pour ses origines, pour sa beauté et pour sa religion. Choisis celle qui a la religion, puissent tes mains se couvrir de poussière. » (2)

On doit donc revenir à la religion comme critère de choix de l'épouse.

Plus celle-ci respecte la religion et au plus elle sera belle, et au plus on devrait la convoiter, qu'elle soit de la famille proche ou éloignée.

En effet, la femme respectueuse de la religion préserve l'argent, les enfants et le foyer de son mari, et la femme belle lui permet de satisfaire ses besoins et par conséquent, de baisser son regard et de ne pas chercher ailleurs.

Et Allah est le Plus Savant.

(1) Rapporté par Al-Bukhârî dans le chapitre du divorce (n°5305), et par Muslim dans la demande de malédiction (n°1500).
(2) Rapporté par Al-Bukhârî dans le chapitre du mariage (n°5090), et par Muslim dans le chapitre de l'allaitement (n°1466).

Fatwa de Cheikh Otheimine
Kitâb ud-Dacwa (5), chap. 2, page 83 et 84.

copié de fatawaislam.com
Cheikh Mouhammad Ibn Salih Ibn 'Outheymine
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Published by Le couple en islam - dans Avis juridique sur le Mariage
31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 11:39
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...
'Aicha l'épouse du prophète  rapporte : 

"Des enfants sont entrés dans la mosquée, ils y jouèrent, il m'a dit : "O Humayra, aimerais-tu les regarder ?" 
J'ai répondu : Oui 
Il se plaça vers la porte, je vins à lui et posais mon menton sur son épaule et j'appuyais mon visage sur sa joue. 
Ils disaient ce jour-là : "Abu al-qasim est bon." 
Le messager d'Allah a dit : "Cela te suffit !" 
J'ai dit : "Ne t'empresses pas Ô messager d'Allah". 
Il se leva pour moi puis il a dit : "Cela te suffit !" 
Je lui ai dit : " ne t'empresses pas Ô messager d'Allah ". 
Ce n'était pas parce que j'aimais les regarder, mais j'ai souhaité que parvienne aux femmes sa position auprès de moi et la mienne auprès de lui. 


 La version de ce hadith est rapporté notamment par An-nassaî dans 'Ichratou an-nissa n°65, Sheikh Al Albani l'a authentifié dans Adab Az-zifaf. 


 Parmi les causes de la douceur dans la relation, il y a le fait de nommer son épouse avec un nom ou un surnom qu'elle aime, dont on espère qu'elle aimera, plus particulièrement parmi les noms qui ont un sens (tel que "Ma bien aimé", "ma chère épouse"....) que ce doit dans le dialogue, ou la relation entre les époux.

En effet ceci ajoute des sentiments d'affection et de respect. 

La preuve de cette affirmation réside dans la parole du prophète "Ô Humayra (حميراء)" (Diminutif d'Al-Hamra qui signifie "la blanche et rousse")

Le prophète appelait parfois 'Aicha par " Ô 'Aîch ( ياعائش )" qui est un nom élidé (Tarkhim) qui montre la proximité et l'affection tendre. 

Il y a donc dans ceci une incitation à la douceur et la tendresse envers la femme ainsi que la recommandation de lui donner un nom dont on espère qu'elle aimera. 


 Ce hadith prouve la bienveillance et la miséricorde du prophète, son bon comportement, sa relation convenable avec la famille, les épouses et les autres personnes.

Il convient donc aux époux de prendre exemple sur le prophète. 


 Ce hadith incite à manifester sa joie et sa gaieté, durant les fêtes et que cela est légiféré. 


 Il est légiféré de faire largesse à sa famille (femmes, enfants) durant les jours de fête aussi divers soient-ils, afin de leur procurer le divertissement et la détente, tout ceci compte tenu de ce qu'Allah a autorisé et permis.

En effet, cet évènement se passa durant les jours de la fête (Aîd). 


 Ce hadith démontre le mérite de Aicha, son immense rang auprès du prophète et son amour pour elle. 

copié de fourqane.fr
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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 11:22

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 On a demandé à shaikh al-'Uthaymin

« Quel est le jugement sur le rapport sexuel avec la femme enceinte, cela est-il détestable ?
 

Réponse :

Il est permis à l'homme d'avoir des rapports sexuels avec son épouse si elle est enceinte, sauf si cela lui cause du tort, car il lui est interdit de faire ce qui lui cause du tort. 

Si cela ne lui cause aucun mal mais que cela lui est pénible, il est meilleur de ne pas le faire, car cela fait partie du bon comportement entre les époux de ne pas faire ce qui lui est pénible, car Allah dit :

« Vivez avec elles dans la bienfaisance ». »

Fatawa muhima li nisa al-umma, p.160
 

copié de true.salaf.over-blog.com

 

tiré de 3ilm.char3i.over-blog.com

 

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